Avantages de la spécialité en fasciathérapie:
Le choix d’un cabinet uniquement consacré aux fascias permet au praticien d’être rompu à ce type de thérapie et de devenir ainsi un spécialiste en fasciathérapie.
Pour accéder à ce statut particulier, tout un cheminement thérapeutique est indispensable:
- domaine de compétence : Le fasciathérapeute exclusif doit être capable de détecter et de régulariser toute tension anormale sur l’ensemble de tous les fascias du corps: dure mère crânienne, fascia axial profond (FAP): pharynx, péricarde, plèvre, péritoine, périnée, fascias aponévrotiques: fascias myotensifs ( tous les muscles ), aponévroses d’insertion ( tous les tendons ), ligaments, membranes interosseuses (MIO), rétinacula, membranes synoviales, gaines synoviales, bourses séreuses, périoste, chaînes fasciales, dans les innombrables pièces du très grand puzzle du corps.
- démarche clinique : Avec la validation d’un médecin généraliste, une anamnèse des patients a été réalisée sur 10 ans ( 1994-2004 ), en vue d’améliorer l’efficience de la fasciathérapie, ainsi revue et corrigée. Cela est vraiment indispensable dans le cas d’une méthode récente cliniquement ( 1980 ).
- niveau d’activité : Une expérience importante sur de nombreuses années garantit des résultats optimums.
- bonne technicité : Une sélection des techniques fasciales les plus pertinentes s’est faite au vue de la pratique au quotidien.
- stratégies thérapeutiques : A partir de la constitution de la carte anatomique des fascias, un protocole de traitement spécifique est conçu et appliqué pour chaque type d’affection. Dans ce cadre là, un grand nombre de points d’anatomie, de physiologie et de symptomatologie sont pris en compte, pour mieux assurer les résultats. Il n’y a pas deux traitements identiques, chaque fois une nouvelle stratégie est mise en oeuvre pour conserver l’efficacité dans le temps. Si un bon élément est trouvé lors d’une séance et donne des résultats encourageants, il sera appliqué ultérieurement pour des cas similaires, en vue de perfectionner avec pragmatisme.
Voici 3 exemples: 1° prise en compte des bilans de facteur de risque en « souffrance » tissulaire fasciale propre à chacun; 2° détermination du lien ou pas, entre les différents problèmes de santé rencontrés, au sein des chaînes fasciales; 3° stratégie personnalisée issue d’une synthèse de toutes les fiches séances avec les bilans des testing fasciaux. - gravité des cas traités : Dans une médecine complémentaire, la probabilité de traiter des cas difficiles est élevée.
- art thérapeutique : Cette discipline exige une grande concentration, privilégiée par la relation permanente avec l’univers des fascias.
- degré d’efficacité : Toute cette démarche perspicace représente beaucoup d’ouvrage en amont de la part du fasciathérapeute, les résultats qui en découlent sont meilleurs.
- principe de précaution (PdP) : Pour être sûr et certain que la demande du patient est en adéquation avec les capacités du fasciathérapeute, le motif de la consultation est demandé systématiquement à la prise de rendez-vous, ainsi que l’âge de l’enfant.
- sûreté de fonctionnement ( SdF ) : La fasciathérapie ne peut être que bénéfique. A ce jour, aucune aggravation de l’état du patient n’a été constatée, en dehors de toute cause étrangère aux soins.
- règle de la non-douleur : Le fasciathérapeute met tout en oeuvre pour à la fois être très efficace et offrir une pratique sans douleur.
- contrôle en séance : Le choix de vérification en utilisant le testing fascial toute au long de la séance couvre l’ensemble de l’anatomie, des fonctions, des grands systèmes, de la profondeur à la superficie de tout le corps est très judicieux, du fait de l’omniprésence du fascia; contrairement à l’inspection des vertèbres et du cadre osseux qui ne donne qu’un aperçu fragmentaire du corps humain.
En prenant le temps nécessaire à une analyse approfondie de chaque patient(e), en développant des champs de compétences propres au cabinet de fasciathérapie, ce cadre d’exercice de la fasciathérapie offre une prise en charge de qualité, avec une réponse thérapeutique bien spécifique pour chaque affection, bien précise pour chaque symptomatique, bien personnalisée pour chaque patient(e).
Les plus par rapport à la formation de base:
- examen palpatoire spécifique aux fascias,
- pratique recentrée anatomiquement en fonction de la symptomatique et des résultats de l’examen palpatoire,
- bilan après-séance pour vérifier efficience du travail thérapeutique et déterminer des stratégies ultérieures.