Future maman et bébé

Femme enceinte et nourrisson:

ACCOMPAGNEMENT DE LA GROSSESSE:

La grossesse s’accompagne de nombreuses modifications physiologiques, le corps se transforme, certains maux générant une sensation d’inconfort, comme:

  • nausées,
  • constipation,
  • douleurs lombaires ou dorsales,
  • brûlures d’estomac et reflux gastro-oesophagien (RGO),
  • oppression thoracique et difficulté respiratoire,
  • sciatique L5,S1,
  • douleurs ligamentaires,
  • syndrome de Lacomme,
  • crampes nocturnes,
  • troubles circulatoires des jambes, rétention d’eau,
  • prise de poids,
  • syndrome du canal carpien (SCC),
  • hypermobilité sacrum,
  • etc;

Souhait d’un suivi de la femme enceinte en fasciathérapie au cours du 1er trimestre ( prévention risque avortement spontanée ) et/ou du 2ème trimestre ( changements posturaux et viscéraux ) et/ou du 3ème trimestre ( préparation accouchement ), sans affection en particulier.

peuvent être traités en fasciathérapie afin d’améliorer le confort de la future mère, sans aucun risque.


SOINS POST-PARTUM:

Il est important de rééquilibrer le bassin, le périnée, l’axe cranio-sacré et de réunifier le corps lors d’un accouchement normal ou difficile pour palier d’éventuelles conséquences physio-pathologiques secondaires à la grossesse ( périnéo-sphinctériennes, pelvi-rachidienne et abdominale ) avec:

  • douleurs pelvi-rachidiennes,
  • incontinences urinaires,
  • prolapsus,
  • dorsalgie liée à l’allaitement et le portage du bébé, 
  • cicatrice césarienne,
  • etc.

Souhait d’un contrôle de la maman en fasciathérapie, sans affection en particulier.

La fasciathérapie vient en complément de médecine douce, après un suivi chez votre gynécologue, votre sage-femme, une rééducation éventuelle chez votre kinésithérapeute spécialisé en rééducation périnéale.


SOINS AU NOUVEAU-NE:

La fasciathérapie peut être utilisée, dès les premiers jours à 3 mois, chez le nourrisson en toute sécurité*. Elle est essentielle quand l’accouchement s’est passé difficilement ( provoqué, césarienne, péridurale, forceps, ventouse, cordon autour du cou, prolongé… ), en cas de dystocie foetal ou maternelle. Il est conseillé de vérifier et restaurer l’équilibre du bébé, en particulier par un remodelage crânien, associé à: développement moteur et physique, tonicités myo-fasciales ( tonus axial [ tête-cou-dos ], des membres ), réponses neurologiques, mobilités – articulaires – de la colonne vertèbrale ( axe cranio-sacré ), etc.

*En fasciathérapie, il n’y a aucune manipulation du crâne, de la face et du rachis; donc aucun risque pour des nourrisson de moins de 6 mois. ( pas besoin de certificat pédiatrique de non contre-indication )

Les fascias sont très sensibles à toutes les contraintes extérieures exercées sur le foetus, en étant les premiers à interagir avec tous les organes et fonctions du corps, qui se repositionnent et se réorganisent après la naissance, pour une vie extra-utérine autonome.

Le traitement en fasciathérapie permet à l’enfant de libérer les tensions qui ont pu s’installer pendant la grossesse ( position intra-utérine ) ou pendant l’accouchement ( souffrance foetale ) pour:

  • torticolis – congénital – postural,
  • reflux gastro-oesophagien chez le nourrisson (RGO),
  • plagiocéphalie positionnelle postérieure (PPP),
  • coliques du nourrisson,
  • syndrome KISS: perturbation de la symétrie induites par les articulations de la jonction crânio-cervicale (PSIACC) C0,1,
  • scoliose idiopathique du nourrisson ( 0 à 1 an ),
  • etc.

Souhait d’un contrôle du nouveau-né en fasciathérapie, sans affection en particulier.

Toutes les listes d’affections ci-dessus correspondent à des diagnostics réalisés par des médecins généralistes ou spécialistes. Le fasciathérapeute ne donne que des bilans tensionnels sur les fascias qu’il régularise, en rapport avec ces contextes médicaux.

La fasciathérapie vient en complément de médecine douce, après un suivi chez votre pédiatre.